1. |
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-Mon nom c'est S'co, tu connais pas l'escroc
-T’arrêtes de pousser t'écoutes ma voix tu prends d'la testo
-J'en fais pas des caisses poto, pour secouer des fesses
-Mais quand j'drop un son qui test les jaloux poussent a la vitesse d'la coco
-My my man j'ai trop les crocs, j'malmene le micro
-Fais crisser les pneus, t’amènes le son j’amène la nitro
-Y en a qui respirent le rap, y en a qui naissent in-vitro
-Donc il parait qu'tu gères, va noyer ton chagrin au bistro
-My my my man j'ai trop, d'aisance, j'baise rétro
-Et j'prospere dans l'porn amat', j'vexe les pros
-Depuis longtemps j'nourris les potos par des 16 caloriques
-Et j'suis paradoxale je rend obèse les gros
-Arrête de m'conseiller des sons j'fais du hip-hop
-Toi t'as pas connu l’époque, ou on portait pas des frocs sekoss
-Ma concurrence, c'est moi et moi seul qui danse
-Sur la tombe de ceux qui pensent, s'démarquer alors qu'ils font d'l'echo
-Le fruit est toxique, sa liqueur est corsée
-Elle coule dans mes veines, ce putain d'hip-hop m'a forcé
-T'as raté les bases, qui c'est qui t'as bercé
-J'ai appris à marcher et puis j'ai transpiré les versets
-Le fruit est toxique, sa liqueur est corsée
-Elle coule dans mes veines, ce putain d'hip-hop m'a forcé
-T'as raté les bases, qui c'est qui t'as bercé
-J'ai appris à marcher et puis j'ai transpiré les versets
-On est né dissipés, qu'est ce qu'on va faire de nous
-L’antithèse de soldats au garde a vous, on avance dans la foule, t'oblige a faire des roues
-On est partout sur tes réseaux sociaux j't'empeche de faire la moue
-Boostant ta fertilité, mes sons te poussent a faire l'amour
-De qui tu parles sinon, j'fais collab si mon..
-..frère de longue date ressort sa lame, si ton..
-..équipe est large, tu t'inondes dans tes larmes, tu dis non
-Rien a changé y a toujours des bidons qui veulent le guidon
-Pour travailler j'pose le pilon, j'viens proposer le pire
-J'pose mes propos puis j'tire, depuis petit j'ai trop posé
-Tu peux plus t'reposer, sur tes acquis
-T'limitent a imiter ceux qu'on pourrait pas nommer d'artistes
-Écris sur ma face, que j'm'efface pas j’éparpille
-Il faut d'la crasse, pour nettoyer toutes ses faces tristes
-Y a que le beat et moi, murasamé kick les mal, j'cris
-Devant des ambiances qui te foutent le mal j'prie, c'est tout c'qu'on m'a appris
-Le fruit est toxique, sa liqueur est corsée
-Elle coule dans mes veines, ce putain d'hip-hop m'a forcé
-T'as raté les bases, qui c'est qui t'as bercé
-J'ai appris à marcher et puis j'ai transpiré les versets
-Le fruit est toxique, sa liqueur est corsée
-Elle coule dans mes veines, ce putain d'hip-hop m'a forcé
-T'as raté les bases, qui c'est qui t'as bercé
-J'ai appris à marcher et puis j'ai transpiré les versets
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2. |
Solo (feat. Fannie Koum)
03:24
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-J'ai la dégaine d'un homme sale, que j'dégoute ou pas
-J'suis né comme ça, c'est quand j'attend l'pire, que j'm'étonne pas
-C'est con j'apprend, c'qu'on attend d'moi, j'en ai rien a foutre
-Si tu veux, voir un bout d'moi, y a un temps d'attente
-J'suis plus un jeune loup, perdu dans une loop
-Mais une hyène voûtée mal foutue écartée du groupe
-La seule que j'veux marier c'est guadalupe
-J'suis accompagné d'ma mélancolie tu peux pas la louper
-J'ai vaincu mes démons dans mes cauchemars les anges me tournaient l'dos
-Fauché mes assaillants sachant que j'pouvais pas les looter
-J'ouvre un œil sur la vie réelle qui m'fait douter
-Mais j'ai cultivé trop d'amertume, pour la goûter
-C'est ça la solitude? Car ceux qui sont sains m'ont dit qu'la folie tue
-Pas hébété mais habité avec le temps on s'habitue
-J'ai peur de perdre ma vérité, dans des fioritures
-Médicamenté mon état détruira mes aptitudes
-Nourris au drame, j'vivrais pas une trame trop longue
-Le temps importe peu, si tes pensées rament solo
-Privé de spiritualité d'une âme scellée à travers l'art
-Je lève l'arme, levant la voix d'une part fêlée
-C'est pas un don quand un démon veut t'harceler
-Tu cries plus fort quand il construit des routes en barbelés
-Nourris tes peurs approprie toi celles des autres et garde les
-Rate les départs car c'qui tue pas t'apprends à pardonner
-J'ai tout donné, j'ai marché les poings liés
-Avec le temps j'ai dissocié les ennemis des alliés
-J'ai pas besoin de rester..
-.. j'vais de l'avant...
-Viens pas me casser mes plans
-Forcé a passer du temps
-A croquer la vie à s'en casser les dents
-J'ai décidé de m'en foutre, qu'on m'attende...
-J'me suis fait solo, j'essaye d’éviter les problèmes solo
-C'est depuis tout p'tit que j'traine solo
-Sois pas jaloux des high parce que ceux qui traînent sont low
-T'apprendras à nager sachant que c'qui t'freine c'est l'eau
-Pendant importe si tu tombes, car tu tombes solo
-Les gens ont peur de voir le monde, voir le monde, solo
-T'es dépendant des opinions des autres tu veux pas vivre solo
-C'est ta chanson avec la pire sono
-Accepte que t'es beau solo, bon solo, con solo
-Contrôle plus tes pensées en solo
-Plus personne à consoler, s'offrir a consommer
-J'prefere me façonner en solo
-Accepte que t'es beau solo, bon solo, con solo
-Contrôle plus tes pensées en solo
-Plus personne à consoler, s'offrir a consommer
-J'prefere me façonner en solo
-J'ai tout donné, j'ai marché les poings liés
-Avec le temps j'ai dissocié les ennemis des alliés
-J'ai pas besoin de rester..
-.. j'vais de l'avant...
-Viens pas me casser mes plans
-Forcé a passer du temps
-A croquer la vie à s'en casser les dents
-J'ai décidé de m'en foutre, qu'on m'attende...
-J'ai tout donné, j'ai marché les poings liés
-Avec le temps j'ai dissocié les ennemis des alliés
-J'ai pas besoin de rester..
-.. j'vais de l'avant...
-Viens pas me casser mes plans
-Forcé a passer du temps
-A croquer la vie à s'en casser les dents
-J'ai décidé de m'en foutre, qu'on m'attende...
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3. |
Shaft (feat. D3sty N0v4)
04:27
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-Qu'est-ce que tu cherches dans la vie, c'est la vie qui nous change
-T'aimerais casser les genres mais tu veux ressembler aux gens
-On préfère sembler qu’être c'est pour pas se piquer au sang
-Simplifier c'qui parait compliqué pour pas traîner les jambes
-On veut marcher léger tout peut s’abréger car le temps se lève
-C'qu'on écrit sera effacé par le vent
-Notre existence est éphémère son apparence nous ment
-Personne est éternel ou finit collé sous un banc
-Ça parait surcoté, c'est pour ça qu'on remplit des blanc
-On perd son identité pour du blé on sourit pour des glands
-On va sortir pour s'épier, ratisser les rangs
-Participer de loin ou d'pres à l’odyssée des grands
-Y a pas d'raison pour célébrer, l'impression qu'on nous prend...
-...Que pour l'impression qu'on donne, on parle jamais de c'qu'on nous rend
-Les gens courent après leur mortalité comme figés dans l'ciment
-Pendant qu'ils courent après leur vérité j'prend des clichés du temps
-Sapé comme shaft, j'ai les couilles d'omar
-C'est si t'attrapes mon pinceau, que tu mouilles de l'art
-Je bois de l'or, toi tu touilles du noir
-Comment tu t'en sors, j'me débrouille je vis pour le mois
-Ambiance BDE, tellement qu'j'ai toussé à poser chez P.E
-Mais j'ai commencé tôt en fumant dans l'bureau d'la CPE
-T'es calculé, t'fais trop d'effort pour pas paraître émasculé
-J'm'en tape les burnes et c'est mon postulat
-Je traîne ma dégaine dans la ville a la faveur du temps perdu,
-A l’affût d'une aube inespéré, là où l’espoir perdure,
-Tant que j’vois pas le fond de ce verre trop cher,
-J’me fait trop vite chier à écouter ses gens clichés qui pissent sur des portes cochères,
-J’ai plus le temps de faire semblant avec ceux qui font semblant,
-J’ai envie de discutions sans gants avec une belle issue sanglante,
-Ma pensée trahie par mon faciès émacié,
-J’ai connu des vegan qui se comportait comme les derniers des carnassiers,
-Des pseudos Lama Dalaï a l’âme a la lie de l’humanité,
-Victime de milles maux à la lie de la vulgarité,
-Être déconnecté ça a son côté pratique,
-Si je veux savoir comment tourne le monde j’vais au lavomatique,
-Ça fait les chauds de la rime, zarma connaissent à peine Nas,
-Moi j’veux être Bradley Cooper et me taper des glaces Häagen-Dazs,
-En pleine chasse au dahu, l’amour, la San Pellegrino,
-Dans mes lunettes le reflet des néons de la rue Solferino,
-Rêve de monsieur tout le monde quand tous veulent devenir « bad boy »,
-Ce qu’on fait ce n’est pas du rap, c’est du buddy movie hard boiled,
-Je baille la ou les gens s’amuse et braille,
-Tes bailles j’men bat, j’me bat même pas contre une vie en stand-by, je suis là,
-A chercher les amis qu’il me reste avec un compte fil,
-Elle dit qu’elle t’aime, mais part du jour au lendemain sans passer un coup de fil,
-Et tu as gobé ses salades, t’inquiète te rend pas malade,
-Le monde continue de tourner, la nuit j’me ballade…
-Sapé comme shaft, j'ai les couilles d'omar
-C'est si t'attrapes mon pinceau, que tu mouilles de l'art
-Je bois de l'or, toi tu touilles du noir
-Comment tu t'en sors, j'me débrouille je vis pour le mois
-Ambiance BDE, tellement qu'j'ai toussé à poser chez P.E
-Mais j'ai commencé tôt en fumant dans l'bureau d'la CPE
-T'es calculé, t'fais trop d'effort pour pas paraître émasculé
-J'm'en tape les burnes et c'est mon postulat
-J'peux pas tricher, intérioriser donc j'fais qu'improviser
-Spectateur des autres j'ai arrêté d'avoir envie d'été
-Posséder m'a corrompu, j'ai très vite aimé
-Dans cette toile qu'j'ai pas pu encadré je continu d'errer
-Faussé par l’émotion mes décisions paraissent exagérées
-J'm'oubli dans ma paresse et me réveille quand j'en ai marre de galérer
-Ma mémoire est sale j'lui refais une beauté
-Souvenir d'un clown triste, le cœur ouvert a la lame crantée
-Pourquoi tu réfléchis c'est pas si compliqué
-Car si le con s'y fait j'aurais tort de pas continuer
-Une question d'attitude, quitte a être observé comme un cas d'étude
-C'est très simple, tu t'en bas les couilles, et tu t'habitues
-Des fois pour réparer les cons, tu tapes dessus
-C'est pas en restant a leur niveau qu'on prend de l'altitude
-Quand on s'attend a rien on est jamais déçu
-Tout l'monde veut t'renifler l'cul ils sont jaloux de ta béatitude
-Sapé comme shaft, j'ai les couilles d'omar
-C'est si t'attrapes mon pinceau, que tu mouilles de l'art
-Je bois de l'or, toi tu touilles du noir
-Comment tu t'en sors, j'me débrouille je vis pour le mois
-Ambiance BDE, tellement qu'j'ai toussé à poser chez P.E
-Mais j'ai commencé tôt en fumant dans l'bureau d'la CPE
-T'es calculé, t'fais trop d'effort pour pas paraître émasculé
-J'm'en tape les burnes et c'est mon postulat
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4. |
Résidu
03:30
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-Prend en un morceau, tu t'sentiras mieux,
-tu t'sentiras triste, tu t'sentiras vieux
-On sent la douleur, dans tous tes aveux,
-mais tu veux pas dans ta vie d'un légume baveux
-J'peux pas grignoter l'temps, sans m'gaver,
-à gratter, des pavés, narrer la vie d'morveux
-T'es pas innocent quand tu sais qu'une mère t'en veux,
-le quotidien qui t'emmerde, on pourrait bien t'l'enlever
-Te foutre la tête sous l'eau, et t’écraser les cotes,
-et étouffer ton être, avec les mains d'un autre
-Il a choisit la vie d'pirate, de mettre le nez dans l’arène,
-il sait qui saute a l'eau quand y a les sirènes
-Les innocents ont rien a cirer, la peur les fait gesticuler,
-et tu sais qu'la mort les rendrait si raides
-Ça pousse à calculer, et c'est pas ton point fort
-tu connais ton environnement, le genre qui t'apprends a tirer
-Tu côtoies l'pire et le malin ne fait qu'admirer
-qu'la plus sombre des routes utilise la lumière pour t'attirer
-C'est pas si important si c'est pas titré,
-et t'as vu l'danger, y avait l'alarme mais tu l'as pas tiré
-Au royaume des aveugles, les borgnes sont des sales putes
-Ils t’éloignent des chemins propres, tu marches dans un sale fute
-On tord ceux qui plient, on croit devenir, à tord, ce qui plait,
-on crée l'histoire dont on parle plus
-Si j'avais su, j'l'aurais pas dit, j'l'ai fais? J'aurais pas du
-Même si t'as pas volé tout c'qu'il a perdu
-La force est d’hésiter, on partageait le mal et des idées
-Et c'est en décidant qu'on laisse des résidus
-Tu crées l'résidu, fuis l'ridicule
-Tire sur la peur dans ton réticule
-Tu crées l'résidu, fuis l'ridicule
-Tire sur la peur dans ton réticule
-On en crée des déchets, on apprend vite, on appréhende la vie
-Et avant d'la créer, voit passer des décès
-Grandir comme réussir un test, effacer mon prochain
-En étant persuadé qu'il gâchait mes essais
-L'humain est indécis, et on s’allie, très souvent pour salir
-Et on commence très tôt à être un imbécile
-Suffit d'un ptit public, pour se croire invincible
-Et tous les forts se croient, parce que les faibles incitent
-Et y aura pas d'conscience, si l'entourage insiste
-Ceux qui soulignent le "non" seront entourés d'un "si"
-Tu peux rester armé, et retirer la cible
-Et la victime blessée, peut qu’espérer un signe
-Tu portes les cicatrices, tu portes le "sin"
-Encore combien d'coups avant qu'tu portes l'insigne?
-Le temps pardonnera les méfaits mais c'est l'effet qu'tu fais
-Pendant qu't'abimes des trajectoires les fins d'trajets fascinent
-Au royaume des aveugles, les borgnes sont des sales putes
-Ils t’éloignent des chemins propres, tu marches dans un sale fute
-On tord ceux qui plient, on croit devenir, à tord, ce qui plait,
-on crée l'histoire dont on parle plus
-Si j'avais su, j'l'aurais pas dit, j'l'ai fais? J'aurais pas du
-Même si t'as pas volé tout c'qu'il a perdu
-La force est d’hésiter, on partageait le mal et des idées
-Et c'est en décidant qu'on laisse des résidus
-Au royaume des aveugles, les borgnes sont des sales putes
-Ils t’éloignent des chemins propres, tu marches dans un sale fute
-On tord ceux qui plient, on croit devenir, à tord, ce qui plait,
-on crée l'histoire dont on parle plus
-Si j'avais su, j'l'aurais pas dit, j'l'ai fais? J'aurais pas du
-Même si t'as pas volé tout c'qu'il a perdu
-La force est d’hésiter, on partageait le mal et des idées
-Et c'est en décidant qu'on laisse des résidus
-Tu crées l'résidu, fuis l'ridicule
-Tire sur la peur dans ton réticule
-Tu crées l'résidu, fuis l'ridicule
-Tire sur la peur dans ton réticule
-Tu crées l'résidu, fuis l'ridicule
-Tire sur la peur dans ton réticule
-Tu crées l'résidu, tu crées l'résidu
-Tu crées l'résidu...
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5. |
RomCom
02:43
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-J'suis un triste romantique j'aime les ambiances qui sentent le bar
-Mais j'aime les choses simples...
-j'ai la mélodie mais j'suis qu'un pauvre sample que t'obtiens
-J'ai la maladie qui fait qu'j'te retiens pas
-Si j'vomis sur tes pompes tu m'diras qu'c'est d'l'art
-Toi t'aimes les choses saintes...
-Moi j'ai hésité a les foutre enceinte
-J’espère que mes enfants m'en veulent pas
-Apprêté, tu finis quand? j'veux jamais arrêter
-J'ai l'air d'un nourrisson qu'a manqué sa tété
-Tu fais quoi aujourd'hui d'abord j'vais m’étirer
-Ensuite j'vais m'gratter les couilles et essayer mon état éveillé
-Et pourquoi s'habiller, j'aime beaucoup trop les voir, s'effeuiller
-J'aime les choses simples, et les détailler
-Avant de chasser au couteau j'adorais mitrailler
-Toujours à coté d'un stylo et quelques bouts de papier
-J'vois toutes les merdes qu'on fait, pour un coup oublié
-Tu peux pas taper toutes les porcelaines même si t'es outillé
-Moi j'ai le zouk rigide, d'un allemand antillais
-Avec mes conneries j'suis même étonné d'pas l'avoir plié
-J'ai lâché les potos qu'ont des radars a foufs
-Moi j'ai un radar a poufs et ça leur plait pas d’être oubliées
-A priori si tu t'mouilles pas, tu peux pas rouiller
-J'ai nagé dans un océan d'cul, j'me suis pas noyé
-J'suis un triste romantique j'aime les ambiances qui sentent le bar
-Mais j'aime les choses simples...
-j'ai la mélodie mais j'suis qu'un pauvre sample que t'obtiens
-J'ai la maladie qui fait qu'j'te retiens pas
-Si j'vomis sur tes pompes tu m'diras qu'c'est d'l'art
-Toi t'aimes les choses saintes...
-Moi j'ai hésité a les foutre enceinte
-J’espère que mes enfants m'en veulent pas
-Obsédé, sexuel, textuel, dans l’excès j'excelle
-J'pensais qu'a ça devant ma page excel
-J'avais qu'ça qu'apparaissait, l'interdit en bas résille
-J'étouffais la paresse de deux mains tachées par la résine
-J'claquais des sommes, j'fumais, j'tapais des sommes
-J’étais cette personne, qui peut te pousser à détester les hommes
-Qui veut t'épouser et limiter la zone
-Mais toi c'est différent arrête tes conneries tu fais qu'imiter les autres
-J'vois qu'ton espoir se meurt, ça compte si j'dis qu'j'etais pas au maximum
-Laisse moi penser et écouter Nina Simone
-J'vis ma vie sonne moi quand tu perds ton équilibre et touche le sol
-J'te piquerais ta bouffe quand tu finiras folle
-J'suis venu sur terre pour voler ce dont tu raffoles
-Les débuts d'abord et j'te promet qu'on finira forts
-Pour mieux serrer la forme, le fond et la corde
-Il faut un romantique pour explorer tous les mauvais raccords
-J'suis un triste romantique j'aime les ambiances qui sentent le bar
-Mais j'aime les choses simples...
-j'ai la mélodie mais j'suis qu'un pauvre sample que t'obtiens
-J'ai la maladie qui fait qu'j'te retiens pas
-Si j'vomis sur tes pompes tu m'diras qu'c'est d'l'art
-Toi t'aimes les choses saintes...
-Moi j'ai hésité a les foutre enceinte
-J’espère que mes enfants m'en veulent pas
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6. |
All-Star
03:06
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-J'suis posé sur l'banc et les saisons s’enchaînent, ma gueule
-J'ai une main sur l'gland, un doigt qui te dit "ferme ta gueule"
-Si j'suis pas all-star, c'est qu'y a un problème majeur
-J'ai vu ton billboard, il fait pitié ton 5 majeur
-J'fais pas d'la pop l'ami, mais mon hip-hop m'a dit
-Qu'ta musique urbaine, elle vend son cul dans toute la ville
-Ta tête est pleine de merde, moi ma musique la vide
-Si t'aimes pas la piquette reviens aux origines d'la vigne
-Ça parle pas tes débats démago mais imagine..
-Si t'utilisais ton ego pour kick comme une machine
-T'as besoin d'une MAJ, toujours les mêmes tours d'magie
-Les mecs ont peur d'tomber, sur leur talon d'achille
-L'attitude est forcée, ça bombe le torse, s'agitera..
-..Dans les cordes, accoudé sur des acquis, fragiles
-Sussure ta réalité augmentée de spleen tragique
-Sortis d'usine, imagine, si c’était d'la zik
-Né pour cracher des mots, imagine si c’était d'l'acide
-J'commence le morceau, rien qu'pour la beauté d'l'assist
-Ça mets les frères debout, mais j'enregistre assis
-J'm'en bas les couilles d'tes sous, mais tu peux tip l'artiste
-J'rap en dehors des clous, mon flow fait du hors-piste
-J'souris comme, jamais, car j'ai trop traîné dehors, triste
-J'arrive en 2020, mais depuis 2006...
-... Et j'te ramène du vin, car ça déborde pisse..
-J'suis All-Star, j'joue a tous les postes j'aime..
-.. matraquer mes potes et, fracasser les postes, j'suis..
-Inconnu au bataillon j'men bas les couilles je pose pas
-Pour porter des toasts mais, secouer les fosses le, MVP !
-Comme le WU mon son est pour les gosses, pour les anciens
-Pour les beaux, les moches, les fines et puis les grosses
-Viens de DM j'te ferais un poulet dans sa sauce, j'aime..
-Quand ça bouge la tête, mais j'prefere quand ça saute
-Ça manque de vie et y aura rien a ressusciter si j’arrête
-Beaucoup m'diront mais t'as rien commencé, même pas un feat arrête..
-Donc ça pèse a c'qui parait, ça met du temps a démarrer
-Pour jouer avec mon flow il faudrait brancher 6 manettes
-J'peux pas écouter ceux excités par le strass et les paillettes
-Y a 17 ans j'écrivais d'ja en poussant des palettes
-Ça rap comme des amat' qu'auraient braqué une supérette
-Ça vend des skeuds comme on foutrait la pression pour une cigarette
-J'met moins d'temps pour écrire, que pour, m'raser la tête
-Parce que, j'men tape les burnes, que mes, pensées t'allaitent
-J'suis mon premier fan et j'm'écris des lettres...
-Laid laid back, j'les entend crier à l'aide
-J'ai le style de Boston à l’époque de Ray Allen
-J'viens chercher l'titre, peu importe c'qui m'y amène
-J'ai oublié avec le temps ceux qui m'ont mit a mal
-Dorénavant j'mettrais en avant ma mine et my men
-Ma mine et my men, ma mine et my men
-On a éteint nos flammes, pour réanimer la même
-La vie qu'on m'a vendu ne fait que m’abîmer a l'aine
-Avant tout ça j'ai voulu donner ma vie a la mer
-Tout c'que j'savais c’était gratter, découper des lamelles
-J'étais vu comme un toxico qui soulevait des mamelles
-Tout c'que j'ai vécu j'l'ai écris pour pas qu'on m'le rappelle
-J'ai douté toute ma vie avant que le hip-hop m'appelle... Le All-Star
-...J'joue a tous les postes j'aime..
-.. matraquer mes potes et, fracasser les postes, j'suis..
-Inconnu au bataillon j'men bas les couilles je pose pas
-Pour porter des toasts mais, secouer les fosses le, MVP !
-Comme le WU mon son est pour les gosses, pour les anciens
-Pour les beaux, les moches, les fines et puis les grosses
-Viens de DM j'te ferais un poulet dans sa sauce, j'aime..
-Quand ça bouge la tête, mais j'prefere quand ça saute
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7. |
Encore
03:48
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-Le temps crée des trappes, toi au fond d'la classe t'attends l'rattrapage
-Tu veux avancer vite mais mec tu laisses des traces de ton passage
-L'histoire est sucrée et la mémoire est son glaçage
-T'attends la cerise sur l'gateau, les souvenirs ont pas d'age
-Moi j'arrive dans tes oreilles comme un mauvais adage
-Les gens corrects sont solitaires car les mauvais s'attachent
-J'ai vécu dans ma crasse plutôt que d'nettoyer les taches
-Si tes erreurs sont pas importantes alors pourquoi tu les caches
-Tu veux pas voir ta merde pourtant y a des miroirs pour
-Ranger c'que tu veux pas affronter dans des tiroirs courts
-...Moi j'me souviens d'un temps ou t'avais l'air con
-J'y r'pense en souriant pendant qu'ton art tourne
-Tu sais qu'on vient pas d'nul part, on a tous une part
-Dans ton histoire, y a des parcours
-Tout l'monde veut fuir, en laissant des traces partout
-Mec t'as le nez qui s'allonge ou la mémoire courte
-T'en racontes des trucs, quand t'es enfariné
-T'es fier de c'que t'as construis, pas de c'que t'as abîmé
-Moi j'veux la vérité, nue, toi t'as voulu l'habiller
-T'affronterais l'vrai, si t’étais pas né dans les billets
-Pourquoi tu mens et attend d’être félicité
-Personne n'a l'monopole de la férocité on récompensera l'authenticité
-Pourquoi tu joues pas pour participer, pourquoi s'précipiter
-On s'en bas les couilles qu't'aies connu la cité
-Peu importe la taille de tes seins tu pourras pas m’allaiter
-Tout c'que tu f'sais d'pas mal était, qu'un rêve
-J'suis réel tu pourras pas, m’arrêter
-J'suis pas un robot qu'on pourrait paramétrer
-Des fois j'suis mélo pourtant j'adore la mêlée
-J'suis loin du cliché d'l'homme fort éduqué par une femme forte et zélée
-Je donne corps, pas besoin d’être hardcore ou fêlé
-J'veux m'insérer dans tes rêves qu'tu puisses encore, m'écouter
-Fabrique pas l'image, d'une jeunesse enragée qui s'agite
-Dans des cages, et fait du trafique en masse
-Ou t'habites ne t’empêches pas, de gravir des marches
-Si tu navigues pas évite de noyer l'humain qui nage
-On s'abrite sous notre art... Pour éviter l'orage
-On vieillit on peut pas éditer notre age, on espère que le petit notera
-Que dans nos ouvrages y a notre âme
-C'qui bouillonne, dans nos cranes, c'est pas qu'un hommage
-On peut jouer d'la stupidité pour quelle utilité
-Ça fait flipper d'affronter ta vulnérabilité
-Diviser pour mieux régner, c'est plus facile qu'enseigner
-J'en vois chercher des idées dans leur récit et s'resigner
-J'entend pas ta vie, qu'tu viens d'réciter
-T'attend pas assez du publique qu'est visé, et brutalisé
-Chacun joue son rôle, combat pour un trône périmé
-C'est pas ma nation et j'men bas les couilles d'présider
-Fais don d'sincérité, c'est pas possible d’hésiter
-Je suis né déjà désinhibé
-J'suis l'armée d'un seul fou, j'ai pas besoin d'unités
-J'ai commencé la guerre, d'ja mutilé
-Et mon art m'a tué... J'fais face à moi en duel
-Vois mon futur, comme un gosse qu'a mué
-J'suis la pour la durée...
-J'suis tellement chaud qu'j'imagine les réactions derrière la buée
-Peu importe la taille de tes seins tu pourras pas m’allaiter
-Tout c'que tu f'sais d'pas mal était, qu'un rêve
-J'suis réel tu pourras pas, m’arrêter
-J'suis pas un robot qu'on pourrait paramétrer
-Des fois j'suis mélo pourtant j'adore la mêlée
-J'suis loin du cliché d'l'homme fort éduqué par une femme forte et zélée
-Je donne corps, pas besoin d’être hardcore ou fêlé
-J'veux m'insérer dans tes rêves qu'tu puisses encore, m'écouter
-Peu importe la taille de tes seins tu pourras pas m’allaiter
-Tout c'que tu f'sais d'pas mal était, qu'un rêve
-J'suis réel tu pourras pas, m’arrêter
-J'suis pas un robot qu'on pourrait paramétrer
-Des fois j'suis mélo pourtant j'adore la mêlée
-J'suis loin du cliché d'l'homme fort éduqué par une femme forte et zélée
-Je donne corps, pas besoin d’être hardcore ou fêlé
-J'veux m'insérer dans tes rêves qu'tu puisses encore, m'écouter
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